À propos

Il était une fois LINGUALITIX

Qui se cache derrière LINGUALITIX ?

LINGUALITIX, c’est l’histoire de Jérémy Fiadone, c’est mon histoire : jeune indépendant liégeois, tout juste diplômé d’un master en traduction de l’université de Liège, souhaitant vivre de deux de mes passions : les langues et l’écriture.

Adepte de l’univers high-tech, disciple de l’informatique, amateur de sport et amoureux de la musique, j’aime traduire des textes en rapport avec mes domaines de prédilection.

Perfectionniste, je ne cesse de me former et d’approfondir mes connaissances sur des sujets qui me tiennent à cœur : la traduction évidemment, mais aussi le marketing, l’automobile, la communication, la technologie… Soucieux de m’améliorer, je vais par ailleurs bientôt entreprendre une formation de traducteur juré, juste après avoir terminé celle sur le marketing numérique.

La technologie, revenons-y. Elle m’a toujours fasciné et elle ponctue mes journées. Deux minutes de temps libre ? Vite, un article sur Les Numériques ! Quoique, Frandroid vient de publier un nouveau test. Oh, non, PP Garcia a posté une nouvelle vidéo… Bref, une passion que je vis au quotidien. Véritable informaticien de la famille, je démonte, répare et configure tout ce qui contient des circuits imprimés, des câbles et des trucs bizarres auxquels personne n’ose toucher. Inutile de préciser que les traductions IT et les traductions numériques n'ont plus de secret pour moi.

Musicien à mes heures perdues, je me suis tout naturellement tourné vers la musique électronique que je joue amoureusement sur mon bon vieux Fantom G8. Mes goûts musicaux sont plutôt éclectiques — une caractéristique peu étrange pour un traducteur, qui, par essence, est assez touche à tout —, même si le RAP et ses textes engagés restent chers à mon cœur.

LINGUALITIX, c'est quoi ?

LINGUALITIX, c’est la contraction de lingua, d’analyse, et de TIC, le tout rendu plus attrayant à coups de i et de x — avouez que c’est plutôt vendeur, non ?

Plus sérieusement, ce nom synthétise en réalité parfaitement l’image que je souhaite donner à mon entreprise : l’association des langues à un esprit d’analyse, le tout, au service de la communication, le pilier de la traduction. La traduction existe par et pour les échanges. Sans communication entre des peuples de langues et de cultures différentes, les traducteurs n’auraient pas raison d’être. Pas d’échanges, pas de communication. Pas de communication, pas de traduction. Pas de traduction, pas de pal… euh, pas de LINGUALITIX.

LINGUALITIX, c’est avant tout une entreprise qui souhaite apporter un peu de lumière sur cet art méconnu qu’est la traduction. Admettons-le, les traducteurs ont une fâcheuse tendance à être invisibles dans notre société, alors qu’assez paradoxalement, nous vivons dans un monde où la traduction est omniprésente. Car oui, la traduction est partout et elle vous facilite la vie au quotidien sans même que vous vous en rendiez compte.

Durant mes études, j’ai longuement songé à l’importance de la traduction ainsi qu’à ses répercussions sur le quotidien de milliards de personnes. Pour mon mémoire, j’avais d’ailleurs choisi de traduire un extrait de Why translation matters, d’Edith Grossman. En effet, la seule lecture du titre m’avait à la fois intrigué et conquis, car en trois petits mots, il incarnait à la fois toute mon interrogation et toutes mes certitudes face à la question récurrente, mais non moins déconcertante : « Dis, ça sert à quoi la traduction ? » Et même si ma réponse à cette question fera l’objet d’un prochain article, je tiens peu ou prou toujours le même discours : « Eh bien jeune moldu, la traduction, c’est ce qui nous a permis de découvrir Harry Potter. »